De l’industrie au recrutement

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Après une dizaine d’années dans le secteur industriel, Philippe Artero a débuté une carrière dans le recrutement chez Robert Walters, et est rapidement devenu manager du bureau toulousain.Pourquoi travaillez-vous aujourd’hui dans le recrutement?

 

 

 

Pourquoi travaillez-vous aujourd’hui dans le recrutement?

Après 10 années passées à des postes de production, logistique ou gestion de projets dans des groupes industriels (L’Oréal, Carrier), j’ai voulu me confronter à un nouveau défi et opérer un virage dans ma carrière.

C’est une rencontre, en tant que candidat, avec un consultant Robert Walters, qui m’a fait passer le cap. Et sa proposition: participer à la croissance de la division ingénieurs du bureau Lyonnais de Robert Walters France.

C’est grâce à ce changement que j’ai pu utiliser pleinement ma fibre commerciale, connaître de beaux succès, challenger mes clients et mes candidats, et surtout me challenger moi-même : après 3 ans à Lyon, j’ai proposé l’ouverture d’un bureau à Toulouse et j’ai saisi l’opportunité de le développer.

J’ai évolué du poste de consultant à Senior Manager, et je suis aujourd’hui responsable du bureau de Toulouse, qui intervient sur le quart sud-ouest de la France.

J’ai la grande satisfaction de développer une équipe, de les aider à grandir, et de les voir évoluer à leur tour.

Aujourd’hui, en recrutant dans un secteur que je maîtrise parfaitement, je mets à profit mes compétences techniques tout en exerçant un métier résolument tourné vers l’humain.

Comment définiriez-vous la culture d’entreprise de Robert Walters?

Selon moi, la clé du succès chez Robert Walters, c’est avant tout d’être doté d’un tempérament d’entrepreneur : chacun à son niveau doit s’approprier son business et saisir les opportunités qui se présentent pour les transformer en succès. C’est l’ADN du cabinet, et c’est dans cet ADN que s’inscrit le projet toulousain que je porte.

C’est aussi une entreprise dans laquelle agilité et compréhension sont indispensables : il faut faire preuve d’une réelle curiosité, et être capable de sortir de la fiche de poste ou d’une description d’entreprise pour comprendre et s’approprier son environnement.

Enfin, le positionnement de Robert Walters est capital : c’est le candidat qui est au cœur de notre orientation.

Que diriez-vous à un professionnel qui hésiterait à se lancer dans le recrutement?

Travailler dans le recrutement, c’est exercer un métier qui a du sens.

Nous avons un impact important sur la vie des candidats. De manière très schématique, nous les appelons pour leur proposer de changer de travail, donc potentiellement de lieu de résidence avec tout ce que cela implique sur le plan personnel et familial : bref, de changer de vie. Bien sûr, nous ne pouvons placer toutes les personnes que nous rencontrons, mais donner des conseils pour refaire un CV ou optimiser une recherche est tout aussi valorisant que d’annoncer à un candidat qu’il a décroché un poste.

Nous portons donc une vraie responsabilité, et cela nous rend plus exigeants encore sur la qualité du travail que nous devons fournir.

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Robert Walters

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